Jean-Pierre Pincemin expérimente l’utilisation de matériaux les plus divers : planches, tôles, grillages carrés de toile trempés dans la peinture (série des « Palissades » et des « Portails »).
Pour cet artiste dont » la grande affaire en peinture est d’aimer la peinture, de ne pas savoir comment peindre, d’inventer des moyens de peindre et assez vite, de pouvoir [s’]identifier à la peinture occidentale « , l’art est synonyme de découverte et d’invention. Ce principe, conjugué à d’un besoin absolu de s’inscrire dans la tradition picturale, est le fondement d’une œuvre singulière, d’une grande rigueur logique.